Les élus locaux sont invités à exposer leurs projets de développement par les transports lors de l’édition 2023 des Rencontres annuelles des mobilités (RAMes) qui se tiennent en Côte d’Ivoire.
La troisième édition des RAMes se déroulera à Abidjan en Côte d’Ivoire du 20 au 22 juillet 2023. Les participants notamment les élus locaux sont invités à exposer leurs visions et leurs projets de développement par les transports. Rendez-vous majeur du secteur sur le continent, l’édition abidjannaise des RAMes sera meublée par une série d’activités comprenant des visites de terrain, des conférences, des expositions et une soirée de distinctions intitulée « Les Victoires des Mobilités ».
Cette année, le thème des RAMes, « L’eau, opportunités de mobilités pour tous », met en avant la multimodalité de la mobilité et la nécessité d’une interopérabilité accrue. Ce thème ouvert invite à la réflexion sur l’utilisation responsable et efficiente des ressources en eau dans le contexte des transports, selon Barthélémy Kouamé, le promoteur des RAMes dans un communiqué reçu par notre rédaction.
Des enjeux multiples de la mobilité
M. Kouamé estime que la question soulevée par cette édition et les enjeux qui en découlent devraient mobiliser tout le monde surtout les élus en perspective des prochaines élections locales prévues cette année en Côte d’Ivoire.
« Les enjeux sont multiples: meilleurs planifications pour la route et les transports, créations d’emplois, développement des affaires et du tourisme, développement de l’économie… Nous recherchons des gains pour tous. », précise Barthélémy Kouamé.
Barthélemy Kouamé appelle donc tous les acteurs et usagers des transports, de la Côte d’Ivoire et d’ailleurs, à ne pas manquer ce rendez-vous. Il souligne l’importance de faire ensemble l’histoire.
«Les RAMes 2023 apparaissent donc comme une édition historique. Ne ratons pas ce rendez-vous. Faisons ensemble l’histoire. Rencontrons-nous et parlons, avec passion et amour des mobilités, bases de notre développement et de notre bien-être.», a-t-il conclu.
Yaya K
