Dimanche 22 mai 2016, alors que le journaliste ivoirien Baudelaire Mieux est à l’église, deux individus qui guettaient les mouvements de la servante à son domicile pointent une arme sur celle-ci à son retour du marché, lui imposent le silence et tandis que l’un la tient en respect, l’autre se dirige directement vers le placard pour récupérer un ordinateur portable, celui du journaliste.
Sur les lieux, un téléphone portable neuf, des tableaux et d’autres objets de valeur pourtant très visibles dans le placard, ne suscitent aucun intéret des visiteurs.
Dès son retour à son domicile, Mieux porte plainte au commissariat le plus proche contre ce braquage ciblé.
Reporters Sans Frontières et les associations de défense de la liberté de la presse sont informés.
Depuis une enquête est ouverte pour élucider cette question : qui en veut à Baudelaire Mieux, à Abidjan.
Charles K.