À l’occasion de la célébration de la journée de l’unité africaine, la société civile L’Africanisme s’engage « à œuvrer pour bâtir un continent plus juste, plus inclusif et plus prospère pour tous ses habitants ».
La journée mondiale de l’Afrique ou journée de l’unité africaine est célébrée le 25 mai de chaque année. Dans une déclaration, la société civile L’Africanisme s’engage « à œuvrer pour bâtir un continent plus juste, plus inclusif et plus prospère pour tous ses habitants », saluant la mémoire des pères fondateurs de l’union africaine. Elle annonce également la tenue d’un panel sur le thème «L’intégration africaine à l’épreuve du Panafricanisme, le cas de la CEDEAO : Enjeux, défis et perspectives».
Promouvoir l’idéal de l’unité africaine
Faisant écho au thème de cette année, « Accélérer l’intégration continentale pour une Afrique prospère et pacifique », l’organisation souligne sa volonté de « surmonter les défis et construire un avenir meilleur pour notre continent ». Un idéal pour lequel se sont battus les pères fondateurs de l’unité africaine, tels que Patrice Lumumba, Félix Houphouët Boigny ou encore Nelson Mandela, « qui ont lutté avec courage et détermination pour l’indépendance, la liberté et la dignité de tous les Africains. »
La société civile L’Africanisme appelle à l’union des peuples du continent, seul gage pour eux d’être « plus forts, plus résilients et mieux équipés pour relever les défis actuels et futurs » qui se dressent sur leur chemin. De plus, elle s’engage « à œuvrer pour bâtir un continent plus juste, plus inclusif et plus prospère pour tous ses habitants. »
Un panel le 20 juin à l’université Félix Houphouët-Boigny
L’organisation, pour concrétiser son engagement, annonce la tenue d’un panel le 20 juin 2024 à l’université Félix Houphouët Boigny de Cocody, sur le thème : « L’intégration africaine à l’épreuve du Panafricanisme, le cas de la CEDEAO : Enjeux, défis et perspectives ».
« Cet événement vise à favoriser le dialogue et la coopération pour renforcer l’intégration régionale et continentale, dans le respect des aspirations démocratiques des peuples du continent. », précise la société civile L’Africanisme, réaffirmant son « engagement envers les valeurs de solidarité, de tolérance et de respect mutuel qui sont au cœur de l’Unité Africaine ».
Elle exprime son espoir d’un « avenir radieux pour l’Afrique, où chaque citoyen pourra réaliser son plein potentiel et contribuer à la construction d’un continent prospère, pacifique et unifié ».