Au moment où les populations du District des Montagnes (Guémon, Cavally, Tonkpi) s’activent à rendre un hommage mérité au président Alassane Ouattara pour ce qu’il a fait en faveur de la sécurité nationale, la stabilité et le développement, une préoccupation (ancienne) revient de façon récurrente : la question des routes, un sujet complexe qui ne date pas du régime Ouattara, mais bien plus longtemps et auquel il faut trouver une réponse, selon le journaliste Philippe Kouhon, fils et cadre du district des Montagnes.
La question des infrastructures routières en Côte d’Ivoire, et plus particulièrement dans le District des Montagnes, est un sujet complexe et ancien qui dépasse le cadre des gouvernements successifs. Historiquement, cette région a souffert de négligence en matière d’investissement dans les infrastructures, ce qui a eu des répercussions sur le développement économique et social des communautés locales.
Sous la présidence d’Alassane Ouattara, des efforts ont été déployés pour améliorer le réseau routier et faciliter l’accès aux zones rurales. Cependant, les défis demeurent, et il est crucial de continuer à porter une attention particulière à cette région. Les infrastructures routières jouent un rôle fondamental dans le développement économique, l’accès aux services de base et l’intégration des populations.
Il est donc dans l’intérêt de tout gouvernement de ne pas négliger cette région, car un développement équilibré et inclusif est essentiel pour la cohésion nationale. L’amélioration des infrastructures routières peut également contribuer à la réduction de la pauvreté et à l’amélioration des conditions de vie des populations vivant dans ces zones.