En Côte d’Ivoire , le Groupe de la Banque mondiale a lancé le débat, Mercredi 22 février 2017 à 09h00 à l’ENSEA (Ecole Nationale Supérieure de Statistique et d’Economie Appliquée) d’Abidjan sur le concept”AFRICA KNOWLEDGE FEST 2017″ avec la participation des départements ministériels et étatiques, des centres de recherches/universités, des organisations du secteur privé, de la société civile, des représentations diplomatiques, , des organisations internationales et des medias.
Il s’agit pour les organisateurs de cette fête du savoir , de présenter au public les principales études réalisées durant les 5 dernières années par la Banque mondiale sur la Côte d’Ivoire dans les domaines clés du développement.
Taleb Hamed, Chargé de Communication du Groupe a présenté les différents rapports sous le thème : “les enjeux des données, analyses et études pour le développement de la Côte d’Ivoire”. Ce sont en tout une trentaine de rapports qui ont été présentés par l’expert.
Ces rapports prennent en compte les domaines de l’éducation, l’économie, la santé, l’emploi, les infrastructures économiques, le racket, l’agriculture, le transport, l’énergie, l’autonomisation de la femme pour ne citer que ceux-là.
Pour Jacques Morisset, Économiste en Chef de la Région Afrique du Groupe de la Banque Mondiale et représentant le Directeur des Opérations du Groupe, ces rapports n’ont pu se concevoir que grâce aux populations qui ont y contribué de divers manières.
Il ressort des échanges que la mise en œuvre réussie du plan national de développement ( PND) 2016-2020 doit prendre en compte les différents rapports publiés.
Yéo Nahoua, Directeur de Cabinet du Ministère du Plan et du Développement, représentant la Ministre, a estimé “qu’il importe à la Côte d’Ivoire de tirer profit des réflexions des études ainsi que les enseignements des expériences passées pour orienter certaines actions ou décisions”.
Cette activité s’est achevée par une présentation d’exposition photos illustrant la contribution au développement de la Côte d’Ivoire , des projets sous financement Banque mondiale.
Chris Monsékéla