Fruit d’un partenariat entre le Gabon et la coopération japonaise, et qualifié de joyaux architectural, le centre de pêche de la commune de Kango reste toujours fermé aux pêcheurs plus de deux ans après sa construction au grand étonnement des visiteurs et autres touristes de passage dans cette ville située à une heure de route de la capitale gabonaise.
« Comme tous les autres centres de pêche exceptés ceux de Lambaréné et de Port-Genil, ces structures sont fermées à cause de la non tenue des engagements de la contrepartie gabonaise », a expliqué un expert du ministère de la pêche sous le couvert de l’anonymat.
Doté de cinq bâtiments, ce centre construit dans le cadre d’un programme de promotion et de soutien au développement de cette activité, en partenariat avec le Japon devait permettre à la ville de Kango de bénéficier d’un approvisionnement régulier en produits issus de la pêche.
Yorick KM