En marge de la 69eme Assemblée générale des Nations Unies, qui s’est tenue du 21 au 26 septembre 2014, à New-York aux États-Unis, a eu lieu le sommet mondial sur le climat nommé «climat, santé, emploi ».
Cette tribune a été l’occasion pour le Président gabonais, Ali Bongo Ondimba de réaffirmer l’engagement de son pays sur la question de la préservation de l’environnement.
Dans le cadre de la sensibilisation internationale visant à donner un nouvel élan à la lutte contre les changements climatiques, le chef d’État gabonais a annoncé des mesures visant à réduire les émissions de gaz, renforcer la résistance aux changements climatiques et mobiliser les volontés politiques en vue de parvenir à un accord juridique significatif en 2015; principaux objectifs fixés à l’ouverture du sommet mondial sur le climat, qui a pris fin vendredi.
Pour son leadership dans la sous région et en Afrique grâce à son engagement contre le réchauffement climatique, Ali Bongo Ondimba a été invité lors de ce sommet à co-présider avec son homologue finlandais les débats sur la thématique « climat, santé, emploi ».
Ce fut l’occasion pour le numéro un gabonais de décliner les politiques mises en place par son pays dans la préservation du climat et des écosystèmes. Notamment le Plan Climat qui permet aujourd’hui au Gabon d’avoir une mesure précise de l’empreinte climat dans le ‘’Plan Gabon Émergent’’.
Faut-il l’indiquer, ce plan recense un ensemble de mesures sectorielles appropriées dont la mise en œuvre permettra une maîtrise durable des émissions de gaz à effet de serre. De même, ce fut l’occasion pour Ali Bongo Ondimba d’exprimer tout l’engagement du Gabon à lutter pour la préservation du climat à travers la création de l’Agence Gabonaise d’Études et d’Observation Spatiales (AGOES) dont l’objectif est le suivi de l’évolution du couvert forestier et du niveau de stockage de carbone au Gabon et dans le bassin du Congo, deuxième grande forêt tropicale au monde.
A cette 69ème Assemblée générale des Nations-Unies, le chef d’État gabonais n’a pas omis de souligner la mise en place par le Gabon depuis 2002, de 13 parcs nationaux, soit 11% de son territoire à la protection des richesses naturelles donc, la contribution de son pays à la préservation du patrimoine mondial, ce qui a fortement été salué par ses homologues.
Claude D