Par la grâce du Tout puissant, Tangara, le fou a bénéficié d’une grande manifestation de solidarité pour le soigner et le sauver.
Tangara, le fou de Bassam avait été donné pour mort. Il était même presqu’abandonné, quand une âme généreuse a voulu en savoir plus.
C’est alors que dans un élan de solidarité des populations de Grand Bassam sont allées à sa recherche et à sa rencontre dans la rue. Il a été retrouvé le mercredi 9 août 2023. Tangara, le fou n’était que malade et mal en point.
Comment ça s’est passé ….
Aussitôt il a été conduit à l’hôpital général de Grand Bassam. «Les choses se sont passées très bien pour la prise en charge de Tangara le fou», ont confié à L’intelligent d’Abidjan plusieurs sources qui citent un discret bienfaiteur qui a facilité cette action salutaire pour la santé du célèbre Tangara le fou. Selon des sources concordantes, inspiré par sa foi en Dieu, le donateur a encouragé les bonnes volontés à apporter leur assistance pour soigner et sauver Tangara, le fou.
«Son action en faveur de Tangara, j’en suis sûr, a touché le ciel. Il impacte positivement ceux qui vont à son école. Strict et rigoureux dans le travail, généreux dans la discrétion en dons au-delà des espérances, il est un modèle en voie de disparition dans un monde où tout est calcul et intérêt», a dit un habitant de Grand Bassam au sujet du donateur qui ajoute que dans la ville balnéaire, plusieurs habitants ne font que parler de la bonne fortune de Tangara le fou, et du bienfaiteur identifié comme étant Ibrahim Magassa.
Témoignages de reconnaissance
Au titre des témoignages, L’Intelligent d’Abidjan a aussi recueilli ceci : «Avec l’assistance à Tangara; le fou, il a bloqué le compteur de générosité à un niveau, le haut. Il est un monument. Il est à l’image de Aboubacar Sidik, le fidèle des fidèles, le généreux des généreux. Celui-là même qui a mis tout au service des nécessiteux. Merci pour tout».
Pour être complet sur le sujet, un témoin explique : « C’est le jeune Kamara Seydou dit Bobby et le Jeune Sam Samassi qui ont alerté de sa mort, ou du fait qu’il n’était pas bien. Ils ont tout de suite reçu les encouragements et même les moyens de la part du donateur pour le prendre en charge. On s’est rendu compte qu’il était inanimé mais encore vivant. Dieu merci, une fois à l’hôpital il a été sauvé. Comment peut-on avoir ainsi de l’amour pour son prochain, quel qu’il soit».
Il y a des gestes qui ouvrent le chemin à une connaissance éternelle des humains. Les soins et le sauvetage de Tangara, le fou, en font assurément partie.
Charles Kouassi