Le 24 et 25 juillet 2017, des responsables des associations des journalistes des cinq continents seront au présent au Qatar, pour faire le point sur la liberté de la presse. Traoré Moussa, président de l’Unjci (Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire), membre du comité exécutif de la FAJ (Fédération africaine des journalistes) y prend part.
Présents depuis cette nuit pour certains dans le Golfe persique, à l’initiative de la FIJ (Fédération internationale des journalistes) des Président ou membres des comités exécutifs des journalistes des 5 continents tiennent une rencontre au Qatar les 24 e 25 juillet 2017, pour faire le point de la liberté de la presse dans le monde.
Traoré Moussa, président de l’Unjci (Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire), qui y prend part en tant que membre du comité exécutif de la FAJ (Fédération africaine des journalistes), a quitté Abidjan cette nuit. Il devrait profiter de la tribune pour expliquer à ses pairs, l’actualité du quotidien des journalistes ivoiriens récemment marquée par une protestation contre le nouveau projet de loi sur la presse proposé par le gouvernement.
Les journalistes ivoiriens reprochaient à ce projet de violer la liberté de la presse. Le gouvernement l’a retiré en vue d’une concertation plus approfondie sur la question.
La rencontre de Doha se tient au moment où au Mexique, les journalistes, après l’assassinat du célèbre journaliste spécialiste du crime organisé et du narcotrafic, Javier Valdez, crient « le basta ya !» (çasuffit !).
Chris Monsékéla