Suite à une calomnie de Chris Yapi à son encontre, l’homme de média Claudy Siar réagit à une des publications sur Facebook de Justice Konan, un profil connu pour la défense du Président de la République, Alassane Ouattara et du gouvernement de Côte d’Ivoire. Pour ce profil, Guillaume Soro, est bien Chris Yapi. Afrikipresse revient sur ces échanges.
Invité au Gala de Children of Africa, Claudy Siar trouble le sommeil de Chris Yapi qui a tenté en vain de le calomnier, et de jeter le discrédit sur lui. En effet, celui qui est considéré par Justice Konan comme l’ex chef rebelle ivoirien, reproche à l’animateur vedette d’avoir accepté de faire le déplacement à Abidjan, soutenant ainsi un régime dont les actions sont contraires aux valeurs de démocratie que prône Claudy Siar. L’influenceur Facebook Justice Konan a réagi, offrant ainsi l’occasion au mis en cause d’expliquer sa démarche et de rabattre le caquet à ses détracteurs.
[ Un digne enfant d’Afrique]
Selon un autre internaute, Claudy Siar est un enfant d’ Afrique plus digne, plus respectable et même plus responsable que le putschiste et chef de guerre Guillaume Soro également soupçonné par lui d’être Chris Yapi.
Et l’internaute de s’interroger pour cette raison : “Au nom de quelles valeurs Guillaume Soro et Chris Yapi peuvent-ils se permettre de dire des médisances sur le champion de la génération consciente , cet homme qui se bat pour aider les Noirs à regagner ou conserver leur fierté et leur dignité !”.
[ Ce que Justice Konan a écrit ]
Avant cet internaute, Justice Konan pour qui il n’y aucun doute sur les liens entre Soro et l’avatar Yapi, avait lui-même écrit ceci : “Guillaume Soro toujours esclave de sa haine et de sa jalousie ! Guillaume Soro souffre toujours dans son âme. Cette souffrance est tellement brûlante que l’homme ne tient plus dans sa peau.
Ainsi il déverse cette bille haineuse sur les réseaux sociaux, car il ne supporte pas d’être absent à la 8e édition du gala de Children of Africa, alors qu’à d’autres éditions, il était bel et bien présent sans se soucier que ce n’était pas une bonne chose comme il le reproche maintenant à Claudy Siar».
[ Les choses qu’il a adorées hier, deviennent aujourd’hui des souvenir à brûler ]
«Soro Guillaume exprime donc son mal-être et sa douleur sous couvert de Chris Yapi qui fait un exercice de refoulement de sa frustration, parce qu’il a perdu le privilège d’être dans cet espace féerique, où l’on côtoie les célébrités , les personnalités de haut rang et tous les acteurs de la société qui œuvrent au bien-être des enfants d’Afrique.
La présence de Claudy Siar est justifiée, car le journaliste et homme réputé de média qu’il est, reste ainsi constant dans sa démarche contrairement à Guillaume Soro qui n’a aucune crédibilité, aucune constance dans sa démarche de tous les jours», poursuit Justice Konan.
[ Children of Africa a une histoire, une légitimité ]
«La fondation Children of Africa existe depuis 1998. Elle a 24 ans d’existence aujourd’hui, et constitue une fierté pour la fondatrice qui aide les enfants défavorisés sur le continent à travers des soins médicaux, des actions à l’éducation et à la protection des enfants vulnérables en Côte d’Ivoire, au Bénin, au Burkina Faso, au Cameroun, au Gabon, à Madagascar, en République de Centrafrique ou au Sénégal», rappelle Justice Konan.
[ Et dire que c’est Chris Yapi qu’il faut attendre pour savoir enfin , que l’initiative n’est pas bonne !!! ]
«Dans sa conception utopique de crush party, Guillaume Soro est l’ombre de lui-même et sombre dans la gadoue par un clash party signé Chris Yapi.
Le gala de Children of Africa n’est pas une Crush Party. Sans me tromper, la durée de vie de Children of Africa est presque la moitié de l’âge du pourfendeur du jour, du nouveau justicier perdu dans le désert ! Un soldat perdu, ce Guillaume Soro alias Chris Yapi !“, conclut Justice Konan.
[ La réaction de Claudy Siar contre cette vision étriquée ]
Suite à cette publication spontanée de Justice Konan dont des sorties ont souvent mis en transe Franklin Nyamsi et d’autres pro Soro, Claudy Siar a fait un commentaire.
” Merci de rappeler la pertinence de mon action parfois mal comprise par ceux qui font semblant de ne pas comprendre. Leur vision étriquée ne me regarde pas. Au lieu de critiquer de la façon la plus puérile, ces donneurs de leçons sur les réseaux sociaux feraient mieux de s’interroger sur l’avenir des 700 enfants de l’école d’Excellence d’Abobo. Pour eux tout est gratuit . Et ils font partie des meilleurs élèves du pays. Mais la haine est tellement ancrée en eux qu’ils n’ont même pas un regard sur la chance donnée à ces enfants de familles défavorisées. Avançons avec ceux qui comprennent. Laissons les autres dans le marigot de la haine compulsive“, a commenté le célèbre journaliste et homme de média dont les positions influencent positivement une bonne partie de la diaspora du continent africain, les jeunes d’Afrique et même des populations d’autres parties du monde.
[ Africa is the future ]
Le thème de la huitième édition du gala de Children of Africa, étant “Africa is the futur “, quoi de plus normal pour la cause des enfants d’Afrique, pour la cause de la jeunesse d’Afrique et pour le futur du continent africain en faveur de cette enfance et de cette jeunesse, que Mme Dominique Ouattara ait songé à inviter Claudy Siar dont l’intégrité reste indiscutable ?
Le fait que cet homme parmi tant d’autres invités soit la cible des critiques de Chris Yapi, est le signe que Claudy Siar a pris une très bonne décision en répondant à l’invitation de Mme Dominique Ouattara, dans le cadre du futur de l’Afrique, au nom des actions sociales, sans aucun lien avec un engagement politique, sans aucune adhésion à une option politique. Il aurait fallu s’inquiéter si Chris Yapi n’avait rien dit de méchant, et s’il avait salué la présence de Claudy Siar à Abidjan. Les enfants d’Afrique et les jeunesses du continent n’ont pas pour porte-parole ni pour modèle Chris Yapi. Entre Guillaume Soro (si celui-ci est effectivement et tragiquement Chris Yapi), et Claudy Siar, leur choix est vite fait.
Philippe Kouhon et @Jean Yves Le Faucon
On ne fera pas le débat de la titrologie ici. Un article, ce n’est pas une partie, c’est un tout !
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