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    Contribution : le monde est une saleté, la femme est la balayeuse qui impose la salubrité

    Contribution : le monde est une saleté, la femme est la balayeuse qui impose la salubrité
    Publié le
    Par
    Charles Kouassi
    Lecture 5 minutes
    Salon des banques de l'UEMOA et des PME

    Le 8 Mars est la journée internationale de la femme. A la fois mère, épouse, génitrice, grande mère, socle de la famille, du peuple et de l’humanité, elle mérite d’être célébrée chaque année dans la seconde semaine du mois de Mars, parce que la femme est propice, précieuse, rentable animatrice et contributrice à l’histoire et à la marche du monde.

    1. Ce que femme veut, Dieu veut;
    2. Dieu est Généreux, la femme est particulièrement philanthrope;
    3. Dieu n’aime pas le péché mais aime le pécheur qu’il a crée;
    4. La femme n’aime pas le péché par crainte de Dieu, mais aime comme la prunelle de ses yeux l’enfant pécheur qu’elle a mis au monde;
    5. Dieu pardonne à celui qui l’a offensé, la femme par amour, par pitié, par décence, par humilité, par dépassement pardonne à l’homme qui a exercé sur elle la violence verbale, physique et sexuelle.

    La femme est la réalité de la force parce qu’elle enfante, adopte un enfant qui n’est pas de son sang, fonde une famille heureuse et unie, soude un peuple divisé. Elle joue un rôle très difficile dans la société. Elle se bat et risque sa vie pour la vérité, le droit et la justice. Pour la femme, l’aspect financier est secondaire par rapport à la conviction, à la détermination et à la vision qu’elle se fait du bonheur pour tous et de la réussite de chacun.

    La femme ne se fixe pas un seuil de fortune, mais un moyen financier plus équitable et plus rationnel, pour l’atteinte des objectifs majeurs
    1. d’humanisme;
    2. de bonheur partagé;
    3. de solidarité;
    4. de complémentarité;
    5. d’entraide;
    5. d’assistance à la lutte contre la pauvreté, à la protection de l’enfance et de la famille, à l’autonomisation financière, à la protection de l’environnement, à l’intégration économique en terme de défi colossal sans penser au bénéfice immédiat et mercantile.

    La femme se caractérise par les trente (30) qualités suivantes
    1. l’ardeur au travail,
    2. la recherche des solutions pour enjamber les obstacles;
    3. l’ingéniosité;
    4. la droiture;
    5. le sacrifice;
    6. le don de soi;
    7. le partage;
    8. la cohésion sociale;
    9. l’entrepreneuriat;
    10.la rigueur dans la gestion;
    11.la ponctualité,;
    12.la discipline;
    13.l’ordre;
    14. l’intégrité;
    15. l’exemplarité;
    16.la conscience;
    17.l’éthique;
    18.la morale;
    19.la protection des deniers publics;
    20.le civisme fiscal;
    21.le respect de l’autorité;
    22. la pudeur;
    23. la fidélité;
    24. la loyauté;
    25. l’influence;
    26. l’éminence grise;
    27. le travail d’équipe.
    28. la communication;
    29. le réflexe d’autodéfense;
    30. la vision.

    Derrière toute grande dame, il y’a un grand homme parce que la femme est la combinaison de la puissance constructive, de la force tranquille , de l’opulence au gout du travail et du contrôle de l’homme pour l’orienter, le conseiller, le guider, le sensibiliser, l’appuyer, le soutenir dans les épreuves, les échecs et les succès.

    Si le monde est une saleté, la femme est la balayeuse qui impose la salubrité, la surveillance et l’accompagnement. Dans la vie, il y’a deux choses qui ne se rattrapent pas, à savoir le mot qui sort de la bouche de l’homme et la balle qui sort de son arme à feu. La femme est à la fois le mot et la balle, lorsqu’elle est trahie, bafouée, ridiculisée, humiliée, trompée par l’homme.

    L’homme est l’apparence de la force parce qu’il ne porte pas la grossesse et ne souffre pas de douleur pendant neuf mois comme la femme enceinte. Il est calculateur sur ses gardes, grandit dans l’illusion, la recherche du pouvoir, de la puissance financière, de l’influence, de la domination et dans la protection sous l’ombre de la femme, en se servant d’elle comme son bouclier humain.

    Dans bien des contrées du monde, l’homme se caractérise par
    1. la paresse physique et intellectuelle;
    2. la course effrénée au profit et à l’argent facile;
    3. la violence, l’insoumission, l’obsession et la déchéance.

    Un homme peut se surpasser pour les cinq (5) mobiles suivants :
    1. l’amour;
    2. l’argent;
    3. le pouvoir;
    4. la gloire;
    5. un idéal.

    La femme peut se surpasser pour cinq (5) mobiles, à savoir
    1. l’amour;
    2. le pouvoir;
    3. un idéal.
    4. son enfant.
    5. sa famille.

    L’homme et la femme se surpassent ensemble pour les trois (3) mobiles ci-après
    1. l’amour;
    2. le pouvoir;
    3. un idéal.

    Dans la vie, l’homme doit souhaiter avoir comme épouse la femme vertueuse, fidèle et protectrice, la femme d’amour, de paix et de vision, de cohésion, d’intégration et de partage, loin de l’esprit excessif de dominance, de possession et d’exclusion conduisant à la chute de l’homme.

    Laurent Maurice Kouakou
    Chroniqueur Expert Consultant

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