L’Intelligent d’Abidjan sera en fête du 11 au 17 septembre 2023. Durant toute cette période, Alafé Wakili, le grand Boss de Totem Communication et de Socef NTIC, la structure éditrice de L’Intelligent d’Abidjan, qui est depuis une vingtaine d’années dans le quotidien des Ivoiriens, vous propose un programme des plus alléchants. Il entend joindre l’utile à l’agréable en prévoyant des rencontres thématiques, un dîner gala et du divertissement.
Alafé Wakili, qui s’est forgé une nette opinion sur l’écosystème et a pu y établir une bonne réputation, amènera les uns et les autres à mener des réflexions constructives. La presse ivoirienne est dans l’impasse, et par euphémisme, on peut dire qu’elle est à la croisée des chemins. Toutefois, la résilience de L’Intelligent d’Abidjan, à travers cette célébration, montre bien qu’une once d’espoir reste perceptible. Pourvu que décideurs et acteurs du milieu se parlent et s’accordent sur le minimum et un modus-vivendi. Déjà, cela pourrait permettre au secteur (imprimeurs, éditeurs, distributeurs) de sortir de la dette circulaire qui le tenaille.
L’Intelligent d’Abidjan, par la célébration de ses 20 ans d’existence, montre qu’il est encore possible d’asseoir un modèle d’entreprise de presse viable. En sus, c’est un parcours motivant et inspirant qui est mis en avant. Il y a 20 ans, peu de personnes pariaient sur une telle longévité pour ce support.
Et pourtant, 20 ans après, comme son slogan l’indique, il montre que c’est le journal dont les Ivoiriens ont rêvé. Alafé Wakili se révèle à la face de la nation comme un manager, un homme proactif et un vrai visionnaire.
Il est clair qu’en septembre, la Côte d’Ivoire s’illuminera de la magie et des couleurs de L’Intelligent d’Abidjan qui a réussi sa mutation en diversifiant ses offres. Du 11 au 17 septembre 2023, L’Intelligent d’Abidjan s’ouvre au grand public. Il importe que chacun (annonceurs, partenaires, acteurs du milieu, décideurs…) s’active et s’approprie cet événement afin que la fête soit belle et une réussite. Que Dieu nous aide.
Frédéric Konan Kouadio