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    2 médecins et une gouvernante pour accompagner Guikahué à la clinique Ambroise à Neuilly (Pdci, Ouattara, Côte d’Ivoire)

    2 médecins et une gouvernante pour accompagner Guikahué à la clinique Ambroise à Neuilly (Pdci, Ouattara, Côte d’Ivoire)
    Publié le
    Par
    Charles Kouassi
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    Salon des banques de l'UEMOA et des PME

    Le secrétaire exécutif du Pdci est à Paris depuis le dimanche 20 décembre 2020. Il a été accueilli à la clinique Ambroise de Neuilly, en France. Maurice Kacou Guikahué qui n’est pas allé mourant mais qui tenait bien sur ses deux pieds, a été accompagné de deux médecins, et de sa gouvernante, dont les billets et frais de séjours seront pris en charge par l’État de Côte d’Ivoire, le temps que l’ex ministre et sa suite resteront en France. 

    Le voyage médical du secrétaire exécutif du Pdci , s’est fait à sa propre demande pressante et insistante , au motif qu’il voulait être suivi par ses médecins habituels. Suite à cette demande insistance, pour éviter d’avoir à endosser la responsabilité d’une éventuelle déconvenue, les autorités ivoiriennes , responsables de la santé de Maurice Kacou Guikahué en sa qualité de détenu, ont donné leur accord. 

    Malgré les apparences, et la tentative avortée du Président Henri Konan Bédié de rencontrer Maurice Kacou Guikahué le vendredi 18 décembre 2020 sur son lit d’hôpital 24 heures avant son départ, des sources bien renseignées, font état de dissensions entre les deux hommes. Cette dissensions date de l’épisode du voyage d’Accra au retour duquel Henri Konan Bédié n’avait plus pris publiquement la parole jusqu’à la déconvenue du CNT, et à sa rencontre avec le Président Alassane Ouattara le 11 novembre 2020. 

    En insistant pour être évacué en France , malgré le risque du sentiment de lâchage , de deal , d’arrangement ou de fuite du combat de la part des militants du Pdci Rda , Maurice Kacou Guikahué a-t-il voulu passer un message de mécontentement à son mentor Bédié, soupçonné malgré les apparences et les annonces publiques, d’avoir dit que sa libération n’était pas un préalable, ni une source  de blocage du dialogue politique au cours du huis clos lors de la rencontre avec Alassane Ouattara, le 11 novembre 2020 ? 

    Charles Kouassi

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