Principal sponsor du forum ivoiro-burkinbè d’affaires qui se tient en marge de la 7èmeConférence au sommet dans le cadre du Traité d’amitié et de coopération (Tac), Coris banque est prête à accompagner les investisseurs des Républiques de Côte d’Ivoire et du Burkina Faso, selon son directeur général, Mamadou Sanon.
Vous êtes présent à cette 7èmeConférence au sommet entre les Républiques de Côte d’Ivoire et Burkina. Vous en sponsorisez même une étape ; le forum ivoiro-burkinbè d’affaires. Quelles sont vos attentes?
Nos attentes, c’est de présenter notre banque aux différents hommes d’affaires du pays hôte, à ceux de la diaspora burkinabè ici , et aux hommes d’affaires burkinabè venus à ce Tac. Nous voulons leur montrer ce que nous pouvons faire en synergie au niveau de notre groupe pour leur besoin d’investissement et de développement. Et surtout également ce que nous faisons dans les pays où nous sommes présents. Coris banque International se trouve aujourd’hui dans six pays.
Les choses sont bien lancées avec ce parterre d’hommes d’affaires. Les organisateurs parlent de 300 entreprises présentes…
Oui, elles sont bien lancées même. En plus, la cérémonie d’ouverture a été patronnée par les deux premiers ministres qui ont planté le décor et invité les hommes d’affaires burkinabè et ivoiriens à travailler en symbiose pour prendre le leadership de la zone UEMOI en termes d’investissement dans nos différents pays. Je suis persuadé qu’il y aura des partenariats entre les hommes d’affaires burkinabés et ivoiriens ; et nous, on sera là pour les accompagner dans leur besoin d’investissement.
5 ans que Coris Banque est installée en Côte d’Ivoire, comment se porte-t-elle ?
Nous sommes là depuis le 04 février 2013. Nous avons fêté notre cinquième anniversaire de présence ici (Côte d’Ivoire, ndlr). Nous avons une bonne part du marché. Nous sommes aujourd’hui la 11ème banque en termes d’emploi et de ressources en fin d’année 2017. Nous avons un total bilan de 324 milliards de fCfa. Nous pensons que nous faisons notre petit bonhomme de chemin.
Entretien réalisé par Chris Monsékéla
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